lundi 28 mars 2011

Le Moucherotte et Le Tabor

la Mouchetrotte, samedi le 26 mars 2011

On est presque au sommet


C'est par une belle journée ensoleillée que nous nous sommes rendu au Village de St-Nizier en car (autobus voyageur) avec en partant de la gauche: Michel, Augrey-Anne et Gabriel, trois étudiants en urbanisme québécois, et Julien étudiant de l'ÉTS avec Francis.
Notre avant-midi s'est avéré parfois très facile, parfois très difficile. Mais pourquoi donc?

Sur la rue tabaga près du boulevard ricelle...
Le Moucherotte est accessible par des sentiers d'un niveau relativement facile et par un sentier assez difficile. Comme nous étions les invités cette fois, c'est Michel qui a pris le lead et qui nous a mené à travers les sentiers. Après avoir suivi une route de bûcherons, le sentier s'est présenté comme ceci: Attention déconseillé au VTT et cavaliers. tant mieux, car nous étions à pied !

C'est à gauche et ça monte
La montée était au soleil, dans un sentier assez large et plein de cailloux. Les 6 randonneurs chantaient ensemble. Michel s'est même étaonné d'être capable de se rappeler la chanson entière de "Sur la rue Tabaga". Bref, ça ne paraissait pas du tout que nous étions 6 québécois dans les bois. Si vous voyez ce que je veux dire.

Notre randonnée avait été agréable pour l'instant. Nous ne nous doutions aucunement qu'un mur allait se présenter à nous. On a été obligé de littéralement faire de l'escalade. Et sans avoir de chaussure adaptées. La difficulté principale n'était pas de monter le sentier, mais bien d'éviter de glisser sur une plaque de glace ou de neige durcie. Audrey-Anne et Marion ont eu pas mal de difficulté sur une des passe du sentier. Les gars eux, on aurait dit que ça ne les dérangeait même pas.


Notre beau mur de neige, glace et escalade
À la fin de cette partie, le plateau du Vercors (Un massif à l'ouest de Grenoble) s'est présenté à nous avec ses petits sapin, sa neige fondante au soleil et des roches de toutes sortes de formes. On s'est alors arrêtés pour prendre le déjeuner (dîner). Au menu: pain, fromage, saucisson, petites tomates, abricot séché et chocolat. L'habituel quoi.







Le plateau




La vue derrière nous
Une des rares photos de nous deux
Le massif du Vercor

Le sommet

Le reste de la montée s'est fait sans souci, les deux pieds dans la neige, en T-shirt et avec tranquillité.  Au sommet on a vu Grenoble d'un oeil différent du massif de la Chartreuse (massif au nord de Grenoble). On a pris quelques photos et sommes redescendus. Cette fois la descente fut ma fois très amusante. On s’élançait debout, accroupis les deux main de chaque côtés, dans la neige. C'était presque du ski. Tout ça en basquettes (souliers). Je n'ai pas à vous dire que nous avions les pieds trempés.
La randonné s'est terminé par des folies dans un champ qui nous menait du sentier à St-Nizier.
Après avoir roulé la côte, Marion est étourdie

Gab qui gambade dans le champ

Ce n'est qu'une fois à la maison que nous avons partager le meilleur hamburger fait sur BBQ à briquette tous ensemble! Merci pour la belle soirée gang, mais on est obligé de vous mettre dehors (à minuit), car ce soir on avance l'heure et demain matin on retourne en rando avec InTèGRE au mont Tabor.

Pour les Photos du Moucherotte


Mont Tabor, dimanche le 27 mars 2011

Il est 8h30 rendez-vous à la station de TRAM Bibliothèque Universitaire on s'est va en raquette. Il fait nuageux et il annonce de la pluie.

C'est notre première sortie avec le programme pour étudiant internationaux des Université de Grenoble (InTèGRE). Avec nous ce matin il y des jeunes de partout: Allemagne, Italie, États-Unis, Lituanie, Hong-Kong, Syrie, Roumanie et France.

Nous sommes au pied du mont Tabor, dans le massif du Cerces en direction de la ville de GAP. Nous chaussons nos raquettes peu de temps après avoir commencé l'ascension.  La montagne est clémente pour l'instant et le sentier est assez large.

Durant l'ascension, nous croisons un éboulis d'avalanche. C'est assez impressionnant. Un peu plus haut, le vent commence à se faire sentir.Il nous gifle le visage et la neige n'est pas agréable. Rendu au lac, nous décidons de s'arrêter pour manger et de ne pas aller au sommet par sécurité. La vue est déjà nulle et nous ne sommes pas au sommet.



Apres le dîner, nous rebroussons chemin et revenons jusqu'en bas. Ce fut rapide et efficace, seul hic, la neige est maintenant de la pluie et nous sommes complètement trempé.

De retour à Grenoble, nous retournons à vélo à la maison, en vélo juste pour se mouiller encore plus. Et voila, c'est déjà le début de la semaine et les cours qui reprennent.

Les photos du Mont Tabor

vendredi 25 mars 2011

Annecy et son carnaval Vénicien


 


 Comme à toutes les semaines, la question reste : qu’allons nous faire durant la fin de semaine? Cette fois, la réponse fut d’aller faire un tour à Annecy,  la plus vieille ville de la Haute-Savoie. Cette ville est souvent surnommée la Venise des Alpes à cause des trois cours d’eau qui traverse la vieille ville. Situé entre Genève et Chambéry, Annecy borde le lac d’Annecy (pas très original comme nom). Annecy est présentement ville candidate pour les Jeux Olympiques d’hiver de 2018.  Annecy est entouré de montagnes et le lac est au bord de trois grands massifs dont le massif des bauges qui fait parties des Pré-Alpes. 
Contre les JO!!

Pour les JO









Notre week-end a commencé par un petit trajet de train TER (Train Express Régional) le samedi matin. Nous étions 4  québécois: Francis, Marion, Julien et Audrey-Anne, en quête de nouveautés. Annecy a été à  la hauteur de nos attentes.

Dès l’arrivée, nous devions aller à l’Auberge de jeunesse y porter nos bagages. L’AJ se situe  sur le flan de la montagne du Semnoz. Elle est accessible à pied par une côte assez raide. L’endroit nous donnait un bel aperçu sur Annecy et son lac. La visite commença avec notre amie : la pluie. Elle se ravisa peu de temps après. À notre entrée dans le vieux Annecy nous avons été surpris par des personnages masqués portant des costumes très créatifs. Il devait bien y avoir quelque chose de spécial en fin de semaine. C’était le carnaval!  Wow, les costumes étaient tous très beaux. Cette créativité mélangée avec la beauté de la vieille ville faisait en sorte que nous étions charmés.

Durant toute notre journée de visite à travers les rues piétonnières et les canaux nous pouvions toujours voir des personnages costumés. La vieille ville est surplombée par un château que nous avons manqué de visiter puisque nous  nous y sommes rendus trop tard.






Maxi pain au chocolat!!!

4 Québékwas
En soirée, nous sommes allés mangés de la fondue Savoyarde; une aux trois fromages pour Francis et Audrey-Anne et une aux cèpes pour Julien et Marion. Quel Festin! Nous étions ronds à la fin du repas. Par la suite, nous sommes allés Tchiller dans le parc qui longe le lac d’Annecy et nous avons pris des photos de nuit. Je crois bien que quelques clichés ont été réussis. Notre escapade de nuit nous a menés vers l’église de la visitation qui surplombe la ville, elle était d’un blanc presque parfait. Julien soupçonnait quelle aurait été fabriqué avec de la pierre qui sécrète du blanc lorsqu’elle est mouillé par les pluies.


L'île des Cygnes sous la pleine lune


Un motté


Vue sur la ville
Le lendemain matin, c’est le jour de la randonnée. On se goinfre au buffet du petit déjeuner de l’auberge et on part. Direction, le mont Veyrier pour une boucle autour d’une paroi visible de la ville. Ce fut une belle rando qui nous donnait des points de vue différents de la ville à chaque belvédère. Arrivé à une certaine altitude, on voyait la couleur du lac vis-à-vis des plages et l’eau y était turquoise; pas mal beau. Le sentier était plutôt boueux et Audrey-Anne glissait pas mal avec ses petits souliers lisses. Arrivé au sommet, nous avons pris un petit snack typiquement français; pain, fromages et saucissons. Manquait juste le vino! Le retour se fit par un petit village sur le bord du lac d’Annecy, Veyrier-Du-Lac, puis nous nous sommes rendus à la gare pour reprendre le train vers Gre. Retour en ville pour 22h, ce qui nous a fait un week-end bien remplis... Mission accomplie!
Un petit nain de jardin 
Si jamais vous passez dans la région de la Savoie, nous vous conseillons fortement de vous arrêter à Annecy, ça vaut le détour. 



Le vieux Annecy

Basilique de la Visitation

pour toutes les autres belles photos, vous pouvez cliquer sur : Annecy

lundi 14 mars 2011

Expédition à travers le massif de la Chartreuse


En ce samedi matin de mars, où la température extérieure est de 15 degré Celsius, nous partons vers le massif de la Chartreuse à pied. Nous sommes chargés et les gens dans les rues de Grenoble nous regardent d'un drôle d'oeil. Nous avons avec nous raquettes à neige, ARVA, pelle, sonde, manteau et tout ce qu'il faut pour dormir dans les bois. Notre but avant de partir est trouver du gaz blanc (naphte) pour notre réchaud MSR. En vain, après une recherche infructueuse nous décidons de tenter notre coup avec de l'essence. Et hop on reviens sur nos pas... Et c'est un départ, il est 10h30 du matin

Première étape


C'est là-haut qu'on s'en va
Nous marchons en direction de la Bastille. Notre départ est à la porte de France au bout de la plus rectiligne des rues d'Europe, le Cours Jean-Jaurès. Nous commençons l'ascension de la petite montagne. Au bout de 40 minutes nous sommes au fort de la Bastille. Nous profitons des toilettes pour remplir nos bouteilles car les sources sont plutôt rares et repartons aussitôt. La marche est bonne, nous continuons vers le mont Jalla et mangeons sur la terrasse d'un petit refuge avec vue sur Grenoble. Un lunch très typique nous attend: sandwich au thon, mais avec du bon fromage!

En direction du Col de Vence
Il est environ 13h30. La température est très chaude, la montre de Francis nous affiche une température de 26 degré. On se croit en plein été. Le décor amplifie cette impression: il y a des arbres qui ressemble à des cactus, le gazon est jaune et la terre est très sèche. Nous suons à grosse goutte. La vue sur Grenoble est magnifique même si le nuage de pollution nous embrouille la vue. Après cette ascension, nous redescendons vers le Col de Vence. Le chemin est large, et fait de cailloux qui sont plutôt dur pour nos semelles de bottes. On y croise plusieurs personnes, certaines font de la marche et d'autres de la course à pied; les courageux! On leur dit bonjour.

Une fois dans le village les maison sont bien entretenues, c'est une partie du village plus riche d'après nous. Le chemin nous mène sur une route principale très emprunté par les voitures. On croise un stationnement et hop on reprend le sentier.

Marion au sommet du mont St-Eynard
Cette fois le sentier est fait de terre, c'est plus doux pour les pieds. Ce sentier me fait penser à une partie de l'ascension du Mont Giant, il est fait de zigzag interminable. Ça monte sans cesse, et lorsqu'une roche tombe sur le rebord du sentier longeant la façade de la montagne, elle tombe et roule et retombe encore avant de s'arrêter. Cela nous fait légèrement peur et nous ne voulons pas mettre le pied à l'extérieur du sentier. Bref, après environ 2h de montée nous voyons le sommet où se trouve le fort St-Eynard. Une surprise inattendue est là: devinez, de la neige! Cela fait 5h que l'on marche à des température avoisinants celle d'été à nous demander pourquoi nous transportons nos raquettes à neige et voilà que la  neige se présente à nous.

Vue sur Grenoble du fort de St-Eynard
On prend le temps de faire le tour des environs du fort pour se rendre compte qu'il se situe au bord d'une falaise. C'est impressionnant, même que Francis s'est amusé à lancer une boule de neige qui tombe sans fin. Après avoir repris nos esprits, nous reprenons la route. Cette fois nous suivons la crête de la falaise. Parfois il y a de la neige, d'autres fois non. Les roches sont d'un blanc semblable à du calcaire et elles sont toutes arrondies. La fin de la journée commence à se faire sentir.



Suite au sentier qui longe la crête, ce même sentier redescend vers le village du Sappey en Chartreuse là où nous devons dormir. Durant cette descente, nous avons mis nos raquettes à neige car la neige se faisait plus présente et glissante. Enfin, ce sentier s'est transformé en piste de ski alpins très larges. Une fois en bas des pistes, nous traversons un parc d'arbre en arbre.

La vue sur la commune nous fait rêver, au milieu des montagnes avec de grands vallons vert autour. Arrivé dans le village, nous demandons à un monsieur où nous pouvons prendre un café et il nous indique le café du coin. Un café après une journée intense, c'est réconfortant et nous redonne l'énergie nécessaire pour nous trouver un coin pour dormir, nous préparer à manger et se coucher.

Deuxième étape

Ya de la neige
On est samedi, il est 9h45 et nous reprenons la route. Mauvaise nouvelle...une petit affiche jaune nous indique que St-Pierre de Chartreuse est à 7h45 de marche et notre bus est à 16h30...

Ce matin le sentier est sombre, il fait frais et il y a de la neige. Une fois encore nous enfilons nos raquettes et marchons. Nous passons à côté de Chamechaude une montagne reconnue pour le ski de randonnée. Ensuite, nous arrivons dans un centre de ski de fond au Col de Porte. Enfin, après la descente vers St-Hugues de Chartreuse nous enlevons les raquettes et marchons sur des petits chemins de campagne des communes de montagnes. Arrivée au village, nous continuons sur la route vers notre destination finale St-Pierre de Chartreuse. On emprunte la route principale et traversons quelques communes pour enfin arriver à St-Pierre. Il est 13h45 et cela nous a pris beaucoup moins que 7h45 pour nous rendre, ce fut quelques minutes de panique pour rien le matin.

On prends notre temps et dînons dans un petit restaurant servant des pizzas et attendons patiemment notre autobus. On est crevé mais bien heureux de notre première expé dans les Alpes. La prochaine fois on partira de St-Pierre de Chartreuse pour aller vers Chambéry.
St-Pierre de Chartreuse et Marion qui regarde le menu du petit resto
Pour la totalité des photos voici le lien : Rando en Chartreuse


Encore une fois, on vous remercie de nous lire
Passez une belle journée
le printemps arrive bientôt


Francis et Marion :) 

dimanche 13 mars 2011

Les courbes de Barcelone et des voitures de Genève




Pour notre semaine de relâche, nous sommes allés nous promener dans la belle région de la Catalogne, plus précisément à Barcelona. La Catalogne est une province de l'Espagne qui, un peu comme le Québec aimerait peut-être un jour se séparer... mais bon, ce n'est pas encore fait. La langue officielle de la Catalogne est le Catalan. Dans les années du régime de Franco en Espagne, il était interdit de communiquer en Catalan. Ce n'est que dans les années 70 qu'il a fait son retour et depuis, les habitants de la région se font un devoir de le promouvoir. Pour la suite de ce texte, lorsque vous verrez des mots en italique, ce sera parcequ'ils sont en Català.

Nous avons rejoins notre ami Julien L. à l'aéroport de Barcelona pour ensuite se rendre à l'appartement que nous avons loué avec notre autre ami Julien ML et sa copine. Nous étions donc 5 petits québécois à Barcelona.
Nous avons commencé notre voyage par un petit tour dans le barri Gotic de soir. Ce quartier est caractérisé par ses petites rues sans trottoirs et par plein de petites places cool où les gens passent du bon temps. Nous sommes ensuite allé au port de plaisanciers puis nous sommes retournés à l'appartement pour se coucher car l'avion, c'est fatiguant, surtout pour Julien L qui arrivait de Montréal. 

Pour notre première journée, nous sommes allés voir Montjuïc avec son stade olympique (été 1992), ses belle bâtisses et un fort de défense qui donne une vue sur la Mar Mediterrània, la ville et sur le port maritime de Barcelona. Ensuite nous sommes redescendu à la place Catalunya où il y a plein de magasins et de centre d'achat, mais la grande place est tout de même belle. À notre arrivée, il devait y avoir environ 500 pigeons sur la place alors c'était assez intense d'y courir :)   Nous avons ensuite marché sur le Passeig de Gràcia où nous avons vu pour la première fois deux maisons de Gaudi. Cette rue est un peu comme la rue des Champs-Élisée de Paris; gros magasins de luxe, beaucoup de touristes, rue très large, mais c'est tout de même beau. 

Le soir, nous sommes allé jeter un petit coup d'oeil à la fameuse Sagrada Família. C'est simplement grandiose de l'extérieur alors nous avons hâte d'y retourner le lendemain pour voir l'intérieur! Cette cathédrale conçu par l'architecte català Antaunio Gaudi est totalement différente de toute image que l'on peut se faire d'une cathédrale. Sa construction a été entamée en 1882 et est loin d'être terminée à ce jour. La semaine dernière, on voyait 6 grues travaillant dessus à tous les jours. 

Casa Batlló
Le lendemain, nous sommes allés voir la Casa Batlló. Une maison conçu par Antonio Gaudi, l'architecte complètement fucké de Barcelona. Tout y est beau et bien pensé. les courbes sont pensées pour maximiser les structures, les couleurs et les formes des fenêtres vont chercher le plus de lumière extérieure. Bref, c'est une belle maison intelligente. Suite à cette visite, nous nous sommes rendus au parc Güell, un parc aussi conçu par l'architecte sur l'opium. Il y avait une grande place avec des bancs où la vie était belle. Cette place est toute de sable et l'eau de pluie est récoltés par un système d'irrigation pour arroser les plantes du parc et alimenter les fontaines. Sous cette place, il y a une autre place avec de grande colonnes et des fresques de céramiques vraiment cool au plafond. Devant tout cela, il y a des fontaines qui ne fonctionnent que par la gravité (sans pompes). Avant-gardiste le Gaudi!

Casa Batlló
Parc Guëll
Parc Guëll







Marion qui regarde une chapelle dans la montagne
Le mercredi, nous nous sommes exilés en train de banlieue vers Montserrat, un haut lieu de la résistance Catalane. Le monastère situé dans une montagne étrangement érodée et aux formes parfois douteuses nous a permis de faire une belle randonnée bien au chaud puisqu'il y faisait environ 20°C. Pendant le règne de Franco, les militants Calanan s'y réfugiait et étaient protégés par les moines. Aujourd'hui, la place est très développée; Caféteria, auberge, magasins, trains et funiculaire. Bref, nous avons pu nous payer une bonne bouffe rendu en haut. 





Le soir, nous voulions aller voir le match de l'extérieur du stade de foot, mais bon, il semble que nous nous soyons mal informés puisque le match se tenait 300km au sud :( nous sommes allé l'écouter dans un petit bar. Nous sommes sortis de là vers minuit (car le match commence à 22h30) et le métro était fermé. Nous étions donc à l'autre bout de la ville sans métro. Grrr quelle idée de fermer le métro si tôt. Nous avons donc fait une ride de taxi d'environ 20 minutes pour 10€. (vous comprendrez plus loin pourquoi je le précise ici)

Le jeudi, nous avons visité une autre maison dessiné par Gaudi qui était un peu moins impressionnante, mais qui ressort tout de même de la masse. Une précision s'impose sur Gaudi, car son école d'architecte ne savais guère s'il diplômait un fou ou tout simplement un génie. Par la suite, nous avons été manger des Tapas espagnoles pour la fête de Francis au restaurant Lolita, l'ancien restaurant Itopia, trouvé dans un guide de voyage. C'était vraiment bon et goûtant contrairement à la plupart des plats espagnols  que nous avons mangés. 

Le vendredi, nous sommes allés faire un tour à la plage. Quelle idée d'aller à la plage en plein mois de mars alors qu'il fait environ 12°C et qu'il vente hyper fort. Lorsque nous sommes arrivés, il y avait plein de planches à voiles et de kitesurfeur sur l'eau. Comme nous ne voulions pas manquer notre chance de se baigner à la Platja de Barcelona, nous sommes allés nous changer dans un McDo puis nous nous sommes lancés sur les vagues qui étaient très froides. Brrrr petite saucette rapide et vite la serviette pour nous réchauffer!


Le samedi, dernière journée à Barcelona, notre avion partait en fin de journée, nous sommes allé au parc Tibidabo qui nous intriguais depuis le début de la semaine. Il y a une église qui ressemble à un château sur le sommet d'une montagne et dans la pente, il y a un parc d'attraction. Il fesait beau alors nous avons profité du soleil et de nos dernières heures en Catalonya. 


Notre avion étant plutôt tard, nous ne pouvions pas revenir à Grenoble le soir même. Nous sommes donc allé à l'auberge de jeunesse de Genève pour une nuit. Comme nous n'avions pas beaucoup de temps pour se rendre avant que l'accueil de l'auberge ne ferme, nous avons pris un taxi. 12 minutes de taxi nous ont coûté la rondelette somme de 46 francs suisses. Sachant qu'un franc suisse équivaut à un dollar Canadien, ça fait mal en ****.  Sois dit en passant, une pièce de 1 franc Suisse ressemble par sa forme à un 25¢ canadien. En considérant le coût de la vie, ça vaut à peu près la même affaire. 

Le dimanche, nous nous sommes allé voir le lac Léman, l'attraction de Genève et pour les Campivalenciens, je peut vous dire que ça ressemble beaucoup à la Baie St-François. Bref, la visite de la ville a été brève et nous nous sommes dirigés vers le 81e salon de l'auto de Genève. Waow que c'est gros et impressionnant. Beaucoup de voitures et beaucoup de monde!















Finalement, nous sommes revenus dans notre petite cabane grenobloise au milieu des montagnes.
N'hésitez pas à commenter, ça nous fait toujours plaisir :)
A+
Francis et Marion

P.S. Pour voir plus de photos, vous pouvez aller voir les albums Picasa suivants : Jour 1 et plus ; jour 2 et plus ; jour 3 et plus